It it Anita : “Avec notre nouvel album, on appréhende davantage la direction qu’on veut prendre”
Condore : “L’une de mes plus grandes craintes était de me lancer en solo”
Elia Rose : “Je préfère vivre derrière mes convictions que de m’aligner à ce qui devrait plaire”
Manou Gallo : “En tant que femme instrumentiste, il faut faire le double du travail d’un homme”
Aurel : “J’ai adoré travailler en groupe mais ça demandait beaucoup de compromis”
Sparkling Bits : “Quand on n’est pas connu, c’est difficile de sortir un album car on tombe plus vite dans l’oubli”
Olvo : “Je préfère être perçu comme un compositeur plutôt qu’un beatmaker”
Ana Diaz : “C’est important de savoir enfin d’où on vient, mais aussi de se sentir connecté à une histoire”
Endz : “On voulait refaire de la musique instantanément et ne plus passer par les ordinateurs”
Pierres : “Pour la première fois, je vais vraiment au bout des choses et de mes envies”
River Into Lake : “C’est compliqué de rester à la page à 40 ans mais mon expérience me permet d’être plus confiant”
Bayacomputer : “Notre groupe a une vraie personnalité, on ne copie pas, on se laisse aller”
The K. : “C’est un groupe qui vit sur la route, c’est là que l’on a grandi”
Margaux Vranken : “Avec le métier de musicien, on est tout le temps en formation et professionnalisation”
Coline et Toitoine : “On a mis du temps à se mettre d’accord sur le style de musique qu’on voulait faire”
Cellar Twins : “Notre rêve est de jouer sur la scène principale du Graspop”
Fabiola : “J’ai voulu traduire en musique le fait d’avoir foiré plein de trucs”
CélénaSophia : “On s’est lancé à fond dans la musique, on n’avait plus rien à perdre”
Lisza : “Chanter en espagnol est libérateur et décomplexant”
Thomas Frank Hopper : “Je voulais revenir au rock comme on en faisait il y a 20 ans”
OTON : “Pour sortir du lot, il faut faire à 100% ce que l’on aime”
The Stanfords : “Si notre musique a un côté vintage, il est important qu’elle s’inscrive dans le présent”
Nephtys : “J’ai eu du mal à me sentir crédible quand j’ai commencé le rap”
Pierre Lizée : “Ecrire des chansons me permet de m’évader”